Cette once d’espoir;
une arme incontournable, vigilante;
ce chemin de désespoir,
cette route glissante.
C’est dans ce monde rempli de rancœurs.
Oh toi pandémie,
Que tu décides de briser des cœurs.
Hélas ! tu n’as point d’amie.
Elle montre malgré sa faiblesse,
Ses idées et son rêve de demain ;
Pauvre jeunesse !
Lèves-toi et lèves haut la main.
Sous l’emprise des bombes ;
Tu ne nous as point épargnés ;
Tu as fait des hôpitaux, de tombes ;
Tu veux à tout prix gagné.
Jeunesse, lèves-toi et bats-toi,
Rêves d’un monde de couleur et de liberté ;
Je lutterai pour toi ;
Tu es priorité.
Elle rêve de bâtir une Nation ;
Loin de toi et de tes semblables ;
Où elle suivrait sa vocation ;
Et vous n’êtes point aimables.
Pandémie tu n’as point de vaccin ;
Apprendre à vivre avec toi au quotidien,
Apeur même le valeureux médecin,
Et l’économie n’avance en rien.
Dédions ces vers à la jeunesse du monde entier ;
Agissant avec honneur pour ta cause ;
Pour des années tu veux y rester ;
Agissons ensemble pour une vie en rose.
Aicha,
Comores